Paul Sugy – L’Extinction de l’Homme

Contre l’idĂ©ologie du antispĂ©cisme

Un livre trĂšs intĂ©ressant qui montre les dĂ©rives qui ont menĂ© jusqu’Ă  l’idĂ©ologie de l’antispĂ©cisme.

Entre dispenser un traitement respectueux aux animaux et considĂ©rer qu’il n’y a pas de diffĂ©rence entre les animaux et les humains (il n’y a pas de espĂšces) ou de prĂŽner les relations sexuelles entre espĂšces (zoophilie) si cela est “satisfaisant” pour les deux… il y a un pas Ă©norme qui ne me semble pas bon franchir.

Pour ceux qui souhaitent mieux comprendre cette idĂ©ologie (antispĂ©cisme), c’est le meilleur livre que Un livre trĂšs intĂ©ressant qui montre les dĂ©rives qui ont menĂ© jusqu’Ă  l’idĂ©ologie de l’antispĂ©cisme.

Entre dispenser un traitement respectueux aux animaux et considĂ©rer qu’il n’y a pas de diffĂ©rence entre les animaux et les humains (il n’y a pas de espĂšces) ou de prĂŽner les relations sexuelles entre espĂšces (zoophilie) si cela est “satisfaisant” pour les deux… il y a un pas Ă©norme qui ne me semble pas bon franchir.

Pour ceux qui souhaitent mieux comprendre cette idĂ©ologie (antispĂ©cisme), c’est le meilleur livre que j’ai lu.

Ce livre ne va pas plaire les idéologues du antispécisme, mais tant pis pour eux. Ce livre est trÚs documenté, avec beaucoup de références.

Un autre livre trĂšs intĂ©ressant est “La philosophie devenue folle” de Jean-François Braunstein, qui regroupe trois thĂšmes progressistes : la thĂ©orie du genre, le antispĂ©cisme et la fin de vie (euthanasie).

Au passage, il s’agit d’un livre Ă©crit par un jeune journaliste (École Normale SupĂ©rieure + Sciences Po) de 25 ans. EspĂ©rons que ses prochains livres auront le mĂȘme niveau argumentatif et intellectuel que celui-ci. Je vais surveillerai les nouvelles parutions. j’ai lu.

Ce livre ne va pas plaire les idéologues du antispécisme, mais tant pis pour eux. Ce livre est trÚs documenté, avec beaucoup de références.

Un autre livre trĂšs intĂ©ressant est “La philosophie devenue folle” de Jean-François Braunstein, qui regroupe trois thĂšmes progressistes : la thĂ©orie du genre, le antispĂ©cisme et la fin de vie (euthanasie).

Au passage, il s’agit d’un livre Ă©crit par un jeune journaliste (École Normale SupĂ©rieure + Sciences Po) de 25 ans. EspĂ©rons que ses prochains livres auront le mĂȘme niveau argumentatif et intellectuel que celui-ci. Je vais surveillerai les nouvelles parutions.

QuatriĂšme de couverture

La cause animale nous prĂ©occupe, et dĂ©fendre les animaux maltraitĂ©s est lĂ©gitime. Mais les mouvements vĂ©gans sont traversĂ©s par une dĂ©rive inquiĂ©tante : l’antispĂ©cisme.

Ces militants jugent que la consommation de viande est une pratique barbare, une discrimination envers les animaux qu’ils comparent Ă  du racisme. Ce mouvement a conquis les universitĂ©s anglo-saxonnes et commence Ă  peser dans l’intelligentsia occidentale.

En mettant en perspective les thĂšses des antispĂ©cistes, Paul Sugy Ă©claire, tout en Ă©vitant les amalgames et les rĂ©ductions hĂątives, le projet d’une dĂ©construction de la notion d’humanitĂ©. Avec rigueur et finesse, il dĂ©voile un risque d’une ampleur inĂ©dite : il ne s’agit de rien d’autre que de remettre en cause la dignitĂ© supĂ©rieure de la vie humaine. L’antispĂ©cisme est moins selon lui une dĂ©fense de l’animal qu’un rĂ©quisitoire contre l’homme.

Un livre qui fera date.